Paradoxalement, c’est agréable.
Penser, réfléchir, philosopher, écrire, apprendre, transmettre, entrer, sortir, se libérer l’esprit.
A qui appartiennent ces deux grands yeux ?
Se retrouver soi-même, en observant deux simples plantes.
Faire le tri... entre réel et imaginaire.
Une autre manière de parler cinéma.
Se débarrasser du superflu, revenir à l’essentiel.
Ce qui fait le sel de l’existence.Musique : Children of the Sun- Poets of the Fall
Montage, superpositions, échos... comme le cinéma de notre mémoire.
Un nouvel élan partagé.
Vendredi 13 novembre 2015, vendredi 13 mars 2020...
Vivre intensément, avec des inconnus.
Les toits de Paris invitent à rêver un film, à changer de temporalité.
Un souvenir de cinéma remonte, et nous met face à nous même.
Le chant du monde.
Que dit-elle cette voisine ? Quelle est sa vie ?
Le prendre dans les bras de son âme, l’enfant intérieur.
Paradoxalement, on peut être ensemble plus en profondeur, sans se voir ni se toucher.
I am obsessed with this girl...
Chronique d’un déconfinement annoncé.
Les presque-répétitions de l’Histoire.
Poétiser nos futurs souvenirs du temps où nous étions libres.
Architecture cinématographique néo-classique.
Elle est notre amie et un symbole d’espoir.
Mais quel genre de personne a pu taguer ça ?
Rencontre avec Tadeusz.
La chance de pouvoir faire un retour sur soi, privilège de classe.
Quand l’obsession change de camp.
Applaudissements dans la nuit.
Ode à la beauté de la vie et à la nécessité de s’en saisir.Retrouvez Il faut savoir attendre (…)
Un journal du regard et de l’écoute de l’autre, qui est peut-être plus en nous-mêmes qu’on (…)
Fenêtre sur cour.
Le dialogue et la liberté.
L’utopie réalisée.
A 7 ou 8 ans, le monde est joyeux, mais déjà dangereux.
La joie au travail !
La vie reprend toujours ses droits.
Se laisser porter, transformer, par le moment présent.
Recoller les morceaux...
Un ami dans le ciel.
S’immerger dans l’instant présent.
Quel usage fait-on des mots, hier, aujourd’hui, écrits, parlés ?
Une épopée humaine, dans un petit coin de quartier parisien.Musique de Jules et Victor Bertin.
Solidarités par associations d’idées libertaires et surréalistes.
Haïku audiovisuel sur la nécessité d’être patient.Retrouvez Oui à la vie et Dis-moi... de la (…)
La réalité du monde à l’intérieur de nous.
De la beauté des émotions fortes.
La part végétale de l’être humain.
Fenêtre sonore ouverte sur les mouettes.
A quoi ressemblait le quotidien ?
Reconnaître, être reconnu, se reconnaître...
Se sauver, s’en aller, noyer sa solitude.
Fenêtre ouverte sur le monde aquatique.Réalisé dans le cadre de l’atelier « Filmer la (…)
Seule, enfant, dans la nuit, dans la neige, aller chercher du lait à la ferme. Et le drame survient.
À l’heure du confinement, au clair de la Lune, les Terriens souffrent d’insomnie...
Chant nostalgique d’un espoir.
On se connaît peu, mais on a de l’attention pour l’autre.
Franchir la fenêtre, pour être vie.
De fenêtre à fenêtre, le temps d’une cigarette, on survole Pyongyang !
Pourquoi ce souvenir là, toujours le même ? C’est ainsi.
Les mots des poètes nous libèrent.
Je devais retourner en Auvergne vers la fin mars, et voici que le confinement m’enferme en (…)
Paris s’éveille... à Nice.
A ce carrefour entre la rue Jeanne d’Arc et le boulevard de l’hôpital à Paris, sur lequel (…)
Se remettre les idées à l’endroit.
Dessiner les contours du réel et de la liberté.
Cheminement en boucles.
Un instant de bonheur intense, qui infuse pour toute la vie.
Partir, vivre, revenir...
Une belle rue, avec tant d’histoires à raconter.