S’immerger dans l’instant présent.
Paradoxalement, c’est agréable.
Un ami dans le ciel.
Le prendre dans les bras de son âme, l’enfant intérieur.
Se débarrasser du superflu, revenir à l’essentiel.
Haïku audiovisuel sur la nécessité d’être patient.Retrouvez Oui à la vie et Dis-moi... de la (...)
Penser, réfléchir, philosopher, écrire, apprendre, transmettre, entrer, sortir, se libérer l’esprit.
Vivre intensément, avec des inconnus.
Le dialogue et la liberté.
Mais quel genre de personne a pu taguer ça ?
Franchir la fenêtre, pour être vie.
Quel usage fait-on des mots, hier, aujourd’hui, écrits, parlés ?
A qui appartiennent ces deux grands yeux ?
Paradoxalement, on peut être ensemble plus en profondeur, sans se voir ni se toucher.
Pourquoi ce souvenir là, toujours le même ? C’est ainsi.
Montage, superpositions, échos... comme le cinéma de notre mémoire.
I am obsessed with this girl...
On se connaît peu, mais on a de l’attention pour l’autre.
Un journal du regard et de l’écoute de l’autre, qui est peut-être plus en nous-mêmes qu’on (...)
Recoller les morceaux...
Une épopée humaine, dans un petit coin de quartier parisien.Musique de Jules et Victor Bertin.
Un souvenir de cinéma remonte, et nous met face à nous même.
Applaudissements dans la nuit.
La vie reprend toujours ses droits.
Ode à la beauté de la vie et à la nécessité de s’en saisir.Retrouvez Il faut savoir attendre (...)
Chronique d’un déconfinement annoncé.
Un nouvel élan partagé.
Architecture cinématographique néo-classique.
Fenêtre sur cour.
L’utopie réalisée.
Poétiser nos futurs souvenirs du temps où nous étions libres.
La part végétale de l’être humain.
Se retrouver soi-même, en observant deux simples plantes.
Se sauver, s’en aller, noyer sa solitude.
Elle est notre amie et un symbole d’espoir.
Rencontre avec Tadeusz.
Vendredi 13 novembre 2015, vendredi 13 mars 2020...
Les presque-répétitions de l’Histoire.
La chance de pouvoir faire un retour sur soi, privilège de classe.
Une autre manière de parler cinéma.
Se laisser porter, transformer, par le moment présent.
Fenêtre ouverte sur le monde aquatique.Réalisé dans le cadre de l’atelier « Filmer la (...)
De fenêtre à fenêtre, le temps d’une cigarette, on survole Pyongyang !
Solidarités par associations d’idées libertaires et surréalistes.
Le chant du monde.
A quoi ressemblait le quotidien ?
Quand l’obsession change de camp.
Reconnaître, être reconnu, se reconnaître...
À l’heure du confinement, au clair de la Lune, les Terriens souffrent d’insomnie...
Que dit-elle cette voisine ? Quelle est sa vie ?
Les mots des poètes nous libèrent.
A 7 ou 8 ans, le monde est joyeux, mais déjà dangereux.
Les toits de Paris invitent à rêver un film, à changer de temporalité.
Seule, enfant, dans la nuit, dans la neige, aller chercher du lait à la ferme. Et le drame survient.
La réalité du monde à l’intérieur de nous.
Chant nostalgique d’un espoir.
Ce qui fait le sel de l’existence.Musique : Children of the Sun- Poets of the Fall
Fenêtre sonore ouverte sur les mouettes.
La joie au travail !
Faire le tri... entre réel et imaginaire.
De la beauté des émotions fortes.
Je devais retourner en Auvergne vers la fin mars, et voici que le confinement m’enferme en (...)
Paris s’éveille... à Nice.
A ce carrefour entre la rue Jeanne d’Arc et le boulevard de l’hôpital à Paris, sur lequel (...)
Se remettre les idées à l’endroit.
Dessiner les contours du réel et de la liberté.
Cheminement en boucles.
Un instant de bonheur intense, qui infuse pour toute la vie.
Partir, vivre, revenir...
Une belle rue, avec tant d’histoires à raconter.