Peut-on enfin être au calme ?
Par delà les désaccords, les mots d’amour sont plus forts.
Quand c’est le monde qui nous dicte notre prose.
A travers un jardin, c’est toute une vie qui se dévoile.
La nature est emplie des mots des poètes.
Tresser, pour tisser les liens indispensables à la vie.
Et si notre imaginaire était notre plus grande force ?
On circule, on apparaît, on disparaît, nos destins se croisent.
Se sauver, s’en aller, noyer sa solitude.
Et si on regardait par les fenêtres de notre passé ?
Franchir la fenêtre, pour être vie.
Partir, vivre, revenir...
Une fenêtre sur la poésie de Boucar Diouf, humoriste et conteur.