Le confinement n’est pas un état nouveau.
En prise avec le manque de soi-même.
Et si nos larmes étaient celles des nuages ?
Quand ni l’un ni l’autre ne doit gagner...
Une fable de l’effondrement...
Une fois la porte fermée, c’est là que tout commence, que tout finit.Avec Florence Hebbelynck (...)
Nostalgie de la lumière...
S’immerger dans l’instant présent.
Chronique d’un déconfinement annoncé.
Où est la vie que l’on regarde ?
Le chant du monde.
Dessiner les contours du réel et de la liberté.
Trouver la juste distance.
Ballade dans le sentiment amoureux.
Richesse de la lecture, quand on n’a pas les mots.
Et dans le futur, comment se fêtera-t-on les anniversaires ?
Un corps, à travers le temps, dans la caresse de la vague.
Cheminement en boucles.
Tout ce que l’on sait que les autres ne savent pas que l’on sait.
Mémoire sensible des lieux.
On se connaît peu, mais on a de l’attention pour l’autre.
Le ciel, à toutes les heures du jour et de la nuit.
Et pourtant la vue y est splendide...
Se remettre les idées à l’endroit.
Découvrir qu’être en soi est l’expérience fondatrice, qui change toute la vie.
Sans toit et face à moi.
Des sons disparus.
Les auteurs du passé, qui chevauchent nos imaginaires.
Voyage immobile.
Les bons conseils livrés à domicile.
Summertime is still here.
Tiens, on voit la piscine... maintenant que les arbres ont perdu leurs feuilles.En été, on ne (...)
Moeurs d’hier, moeurs d’aujourd’hui...
Lettre à Françoise Simpère.
De fenêtre à fenêtre, le temps d’une cigarette, on survole Pyongyang !
Album de famille, regards des pères.
Tout va si vite, quand on ne bouge pas.
Et si cette vue était la meilleure des vues ?
Les mots sont venus, sont revenus, ils se sont couchés sur le papier.
L’écoute du monde autour de nous, c’est la découverte la plus précieuse au fond de (...)
Le rayonnement des rayonnages.
Dans les voix des autres, se trouver soi-même.
Par delà les désaccords, les mots d’amour sont plus forts.
Je vous fais suivre un mot qui ne m’était pas destiné.
Le lieu merveilleux de l’enfance.
La marche du monde.
Une voix scande un corps qui danse, corps du monde.
Grandir et ses renoncements...
Découvrir un film dans le film.
Un monde qui s’anime.
La science sans limites.
Cultiver la paix en soi.
Il piaille, il trépigne, il s’impatiente... dans sa cage.
En attendant... viennent à nous, dans le quotidien, des questions philosophiques sans (...)
L’aventure de la vie, en musique !
La musique adoucit les moeurs.
Prendre le temps d’observer le monde autour de soi, c’est se découvrir à soi-même.
Poétiser nos futurs souvenirs du temps où nous étions libres.
La vie à la campagne reprend, presque comme si de rien n’était.
Décalogue de mémoire.
La vraie vie, exubérante, incontrôlable.
Reconnaître les preuves d’amour.
Prendre l’apéritif ensemble, c’est une ode à la vie.
L’énergie de la colère.
Le rêve, ultime échappatoire.
Tout est dans le changement de regard.
Le prendre dans les bras de son âme, l’enfant intérieur.
Le monde s’agite autour de soi, muet.
Un détour par le soleil.
Une fenêtre, une frontière...
L’utopie réalisée.
L’éveil spirituel en période de confinement n’est peut-être pas chez qui l’on croit.
En se tenant à cette fenêtre, regardant cette météo capricieuse, Daanin ne peut s’empêcher de (...)
Paradoxalement, on peut être ensemble plus en profondeur, sans se voir ni se (...)
C’était le bon temps...
Je devais retourner en Auvergne vers la fin mars, et voici que le confinement m’enferme en (...)
Chant nostalgique d’un espoir.
On circule, on apparaît, on disparaît, nos destins se croisent.
Le cycle de la vie.
Mais quel genre de personne a pu taguer ça ?
Se retrouver soi-même, en observant deux simples plantes.
Anticipation du quotidien.
Vendredi 13 novembre 2015, vendredi 13 mars 2020...
De quoi se souviendront les artistes peintres ?
Anticipation en chanson d’un changement de point de vue radical.
Il y en a une qui donne au Sud, une autre au Nord et la troisième… vers l’Est (...)
Et si notre imaginaire était notre plus grande force ?
Un poème découvert il y a 7 ans à cette fenêtre.
Jouer à se faire peur.
Une histoire à chute.
Et pourquoi ne pas choisir de s’inventer une vie de luxe ?
Vol intérieur.
Je me souviens des étés chauds comme un four...
Un souvenir de cinéma remonte, et nous met face à nous même.
On ne vit pas tous dans le même monde.Musique : Sébastien Blanchon.
Demandez le programme !
Franchir la fenêtre, pour être vie.
La vue d’une chambre racontée par un enfant.
I am obsessed with this girl...
Quand deux périodes de confinement se rencontrent.
Quand un lycée en rappelle un autre...
Et si c’était l’occasion d’enrichir sa cinéphilie ?
Et si on regardait par les fenêtres de notre passé ?
Comme un nouveau livre d’histoires.
Nostalgie de l’enfance.
Le dialogue et la liberté.
Tissage d’hommages et de liens profonds.
A quoi ressemblait le quotidien ?
Souvenir d’antan.
Quand l’obsession change de camp.
Attendre... puis se mettre en mouvement !
On s’accorde à revenir vers soi.
Une belle rue, avec tant d’histoires à raconter.
Quand c’est le monde qui nous dicte notre prose.
Architecture cinématographique néo-classique.
Le vent se lève... sur des lendemains qui chantent.
Collection de haïkus en musique.
La force de la vie dans l’épreuve.
« La division cellulaire est le mode de multiplication de toute cellule. »
Voir plus grand.
La nature est emplie des mots des poètes.
La vie serait-elle une suite de cycles ?
La légende des humains.
Quand les animaux se font philosophes.
Poétique de l’absence et de la perte.
La nuit est propice au plaisir...
Les mots s’entremêlent, pour un pas de côté obligatoire.
Se créer une mémoire du présent.
Paris s’éveille... à Nice.
Dépasser les limites.
S’amuser avec trois fois rien...
La chance de pouvoir faire un retour sur soi, privilège de classe.
Un écran, une fenêtre.
Chanter pour se donner du courage.
Le monde n’est réel que par l’imaginaire que l’on projette sur lui.
Peut-on enfin être au calme ?
Dialoguer avec son enfant intérieur, pouvoir le rassurer, enfin.
Entre mes mots, m’entendras-tu ?
Un jour on se retourne, et que découvre-t-on ?
Dialogue intérieur avec la jolie voisine.
Histoire partagée, fenêtre partagée...
Par ma fenêtre, le temps s’arrête.
Dessiner, inscrire, graver, ciseler... sa mémoire, par les mots.
Se sauver, s’en aller, noyer sa solitude.
La part végétale de l’être humain.
Les voyages forment la jeunesse, disait-on, avant...
Quand on se découvre un compagnon inattendu et puissant.Musique : Jérémie Leclercq.
La visite du propriétaire.
Se débarrasser du superflu, revenir à l’essentiel.
La vie ne s’arrêtera pas comme ça.
Solidarités par associations d’idées libertaires et surréalistes.
Se mettre dans les meilleures dispositions.
Et pourtant, elles tournent...
Dans l’envers de la ville, il y a notre histoire.
Penser, réfléchir, philosopher, écrire, apprendre, transmettre, entrer, sortir, se libérer (...)
Faut-il en rire ou en pleurer ?
Suivez le guide !
L’oeil écoute, l’oreille voit, l’âme se souvient.
Quel monde préférons nous ?
Le déconfinement est-il possible ?
J’aime imaginer ce que je ne vois pas.
Autour d’un escalier se déploie l’histoire d’une famille.
Recoller les morceaux...
Ouvrir nos perceptions... grâce à la musique.
Quand l’univers quotidien se transforme, au gré de l’imagination qui s’envole...
Psychogénéalogie des lieux de vacances.
Une fenêtre sur la poésie de Boucar Diouf.
Une méditation, au creux de l’oreille.
Parler, ça fait du bien !
La parole, comme un chant, dévoile l’existence de champs passés et ouvre à un nouveau champ de (...)
Même chez soi, on peut ne plus être chez soi.
Un adieu en sfumato.
Délicat mouvement musical de la poésie du dedans vers les souvenirs du dehors.
Les presque-répétitions de l’Histoire.
Jeanine-en-Rideau.
Même avant, il n’était pas si facile de sortir.
Comme tous les soirs...
Bienvenue dans un moment exceptionnel !
Un souvenir qui revient en boucle.
Paradoxalement, c’est agréable.
A travers un jardin, c’est toute une vie qui se dévoile.
Des enfants partent, d’autres passent...
Quand les objets deviennent une part de nous-mêmes.
A qui appartiennent ces deux grands yeux ?
Peur et joie mêlées de l’enfance : « ce n’était qu’un jeu ».
Une épopée humaine, dans un petit coin de quartier parisien.Musique de Jules et Victor (...)
La main, symbole d’humanité.
Il y a 50 ans, dans une chambre d’hôpital...En mémoire de Guy Hocquenghem.
Le conte de la nature qui se souvient.
Un enfant venu de loin, il y a longtemps...
Voici ce qui fait la force de notre humanité...
La nature, si mystérieuse et riche.
Ressentir la rotation de l’astre.
Un voyage en plein vent dans la formation des souvenirs.
Quand une dernière fois marque pour toute la vie.
La réalité du monde à l’intérieur de nous.
Avec infiniment de brumes à venir...
Un olivier n’est pas qu’un arbre, mais un vase rempli...
Vivre intensément, avec des inconnus.
Immersion dans l’imaginaire nocturne.
Mais qu’est-ce que la neige, au fond ? Ce n’est pas ce qu’on croit, et c’était (...)
Figure musicale de l’absence.
À l’heure du confinement, au clair de la Lune, les Terriens souffrent d’insomnie...
Apprendre et garder en soi, la poésie...
Ma fenêtre, mon carnet et moi.
Un nouvel élan partagé.
Faire le tri... entre réel et imaginaire.
Et si tout cela n’était qu’un film ?
Un film pour un ami.
Un autre point de vue sur la vie.
Un rêve qui prend forme.
De la beauté des émotions fortes.
Baignades mémorables et joyeuses.
Madeleine de Pâques.
Regarder, sentir, écouter et se souvenir.
L’amour n’a pas de frontières.
Seule, enfant, dans la nuit, dans la neige, aller chercher du lait à la ferme. Et le drame (...)
Il était une fois une jeune prof, nouvellement arrivée...
Reconnaître, être reconnu, se reconnaître...
Se laisser porter, transformer, par le moment présent.
Savoir résister...
On regarde les autres, mais les autres, comment nous voient-ils ?
A ce carrefour entre la rue Jeanne d’Arc et le boulevard de l’hôpital à Paris, sur lequel donnent (...)
Poésie de la vanité des hommes.
La playlist du confinement.
Allégorie moyenâgeuse d’une solitude assumée.
Un instant vécu peut infuser pour toute la vie.
La contemplation, plus importante que tout le reste.
La goût de la vie et le goût de l’autre.
Fernando Pessoa, v.o.s.t.
Donner la vie, c’est donner la parole.
Les lointains souvenirs peuvent revenir en volant.
Dis ! Quand Reviendras-tu ?
Un simple après-midi dans la neige, si important.
Rêverie du présent en temps de confinement.
Pour qui sonne le tocsin ?
Le partage des regards par les fenêtres de chacun, c’est comme une danse intérieure.
Fenêtre sur cour.
Elle est notre amie et un symbole d’espoir.
Les mots des poètes nous libèrent.
La caresse du regard et de l’écoute.
« J’avais fait cette vidéo avant le confinement pour mes enfants et elle me revient chaque fois (...)
Et si on faisait comme les oiseaux ?
Tresser, pour tisser les liens indispensables à la vie.
Il faudrait commencer à mieux s’occuper des fées.
Un premier événement traumatique, avant les autres.
Toujours le même chemin, et pourtant tant de chemin.
La surprise du dernier instant.
Où sont nos racines ?
Prendre appui, au plus profond de soi.
Partir, vivre, revenir...
Le lieu d’une vie rêvée, qui n’a pas eu lieu.
Et si la vie, la vraie vie, se nichait au coeur du silence ?
A qui appartient le monde ?
Observer, vivre, résister...
Rester enfant à l’intérieur de soi, pour toujours.
A 7 ou 8 ans, le monde est joyeux, mais déjà dangereux.
Se faire du bien ou se faire du mal ?
Ces moments qui paraissent anodins...
La vie au village au printemps 2020.
Des sons imaginaires.Musique : Valtteri Kujala.
Derrière une chanson, c’est toute une vie redécouverte qui se déploie.
Un ami dans le ciel.
Alors que l’on veut s’éloigner, on se rend compte qu’ensemble c’est mieux.
Pourquoi ce souvenir là, toujours le même ? C’est ainsi.
La joie au travail !
Quels secrets se cachent dans cette petite forêt ?
Rêve et réalité de la vie à la campagne.
Prenons le pouvoir, soyons nos propres metteurs en scène.
La main vivante.
Si loin, si proches... Dans les facettes des souvenirs, se tisse le lien humain.
Comme un conte de la lune vague après la pluie.
Un instant de bonheur intense, qui infuse pour toute la vie.
Les toits de Paris invitent à rêver un film, à changer de temporalité.
Montage, superpositions, échos... comme le cinéma de notre mémoire.
Trois souvenirs de ma naissance.
Quel usage fait-on des mots, hier, aujourd’hui, écrits, parlés ?
La vie reprend toujours ses droits.
Changement de destination...
Promenade dans son petit monde.
Mesurer sa chance.
Les milliers d’images dont nos sentiments sont faits.
Par la fenêtre à travers les Siècles.
La bonne formule pour être en liberté derrière les murs.
Tout faire pour ses enfants.
La poésie dans la tourmente.
Enquête à huis-clos dans un passé compassé.
La voix de la machine... humaine ?