L’oeil écoute, l’oreille voit, l’âme se souvient.
Par delà les désaccords, les mots d’amour sont plus forts.
Tout va si vite, quand on ne bouge pas.
Tresser, pour tisser les liens indispensables à la vie.
Peut-on enfin être au calme ?
Et si notre imaginaire était notre plus grande force ?
Le confinement n’est pas un état nouveau.
Chant nostalgique d’un espoir.
Pour qui sonne le tocsin ?
Dessiner, inscrire, graver, ciseler... sa mémoire, par les mots.
Immersion dans l’imaginaire nocturne.
Un souvenir de cinéma remonte, et nous met face à nous même.
Vite vite le filmer, avant d’oublier.