Souvenirs d’un été...
Album de famille, regards des pères.
Je me souviens des étés chauds comme un four...
Par delà les désaccords, les mots d’amour sont plus forts.
La goût de la vie et le goût de l’autre.
Tresser, pour tisser les liens indispensables à la vie.
Peut-on enfin être au calme ?
Comme tous les soirs...
Poétique de l’absence et de la perte.
La voix de la machine... humaine ?
Tout va si vite, quand on ne bouge pas.
A propos d’une charrette qui vient tout droit du passé.
Parcours d’une femme tchadienne pour se libérer du carcan social.