Paradoxalement, on peut être ensemble plus en profondeur, sans se voir ni se toucher.
Quel usage fait-on des mots, hier, aujourd’hui, écrits, parlés ?
Quand c’est le monde qui nous dicte notre prose.
La part végétale de l’être humain.
A travers un jardin, c’est toute une vie qui se dévoile.
Et si on regardait par les fenêtres de notre passé ?
Par sa fenêtre, Leonardo nous raconte un souvenir de Colombie.
Un jour on se retourne, et que découvre-t-on ?
Un écran, une fenêtre.
Tissage d’hommages et de liens profonds.
Un rêve qui prend forme.
Sans toit et face à moi.
Dépasser les limites.