Paradoxalement, on peut être ensemble plus en profondeur, sans se voir ni se toucher.
Quel usage fait-on des mots, hier, aujourd’hui, écrits, parlés ?
Quand c’est le monde qui nous dicte notre prose.
La part végétale de l’être humain.
A travers un jardin, c’est toute une vie qui se dévoile.
Et si on regardait par les fenêtres de notre passé ?
Par sa fenêtre, Leonardo nous raconte un souvenir de Colombie.
Toujours le même chemin, et pourtant tant de chemin.
Ressentir la rotation de l’astre.
Un jour on se retourne, et que découvre-t-on ?
Immersion dans l’imaginaire nocturne.
Anticipation du quotidien.Musique : Brooklyn - Woodkid
Alors que l’on veut s’éloigner, on se rend compte qu’ensemble c’est mieux.