La vie reprend toujours ses droits.
La playlist du confinement.
Les mots s’entremêlent, pour un pas de côté obligatoire.
À l’heure du confinement, au clair de la Lune, les Terriens souffrent d’insomnie...
Un détour par le soleil.
Paradoxalement, on peut être ensemble plus en profondeur, sans se voir ni se (...)
Solidarités par associations d’idées libertaires et surréalistes.
Même avant, il n’était pas si facile de sortir.
La réalité du monde à l’intérieur de nous.
Promenade dans son petit monde.
Les auteurs du passé, qui chevauchent nos imaginaires.
La voix de la machine... humaine ?
Le prendre dans les bras de son âme, l’enfant intérieur.
En se tenant à cette fenêtre, regardant cette météo capricieuse, Daanin ne peut s’empêcher de (...)
Le rêve, ultime échappatoire.
Ma fenêtre, mon carnet et moi.
Mémoire sensible des lieux.
La musique adoucit les moeurs.
Architecture cinématographique néo-classique.
Même chez soi, on peut ne plus être chez soi.
Parler, ça fait du bien !
Quand on se découvre un compagnon inattendu et puissant.Musique : Jérémie Leclercq.
Un poème découvert il y a 7 ans à cette fenêtre.
Où sont nos racines ?
On ne vit pas tous dans le même monde.Musique : Sébastien Blanchon.
L’aventure de la vie, en musique !
Avec infiniment de brumes à venir...
Le confinement n’est pas un état nouveau.
Décalogue de mémoire.
Quand ni l’un ni l’autre ne doit gagner...
Une fable de l’effondrement...
Se sauver, s’en aller, noyer sa solitude.
Figure musicale de l’absence.
A qui appartient le monde ?
Les bons conseils livrés à domicile.
Le partage des regards par les fenêtres de chacun, c’est comme une danse intérieure.
Reconnaître les preuves d’amour.
A quoi ressemblait le quotidien ?
De fenêtre à fenêtre, le temps d’une cigarette, on survole Pyongyang !
Un film pour un ami.
Si loin, si proches... Dans les facettes des souvenirs, se tisse le lien humain.
Prendre l’apéritif ensemble, c’est une ode à la vie.
La nature, si mystérieuse et riche.
Par ma fenêtre, le temps s’arrête.
La visite du propriétaire.
Vol intérieur.
La goût de la vie et le goût de l’autre.
Le lieu d’une vie rêvée, qui n’a pas eu lieu.
A qui appartiennent ces deux grands yeux ?
Comme un nouveau livre d’histoires.
Tissage d’hommages et de liens profonds.
Voyage immobile.
Quels secrets se cachent dans cette petite forêt ?
Chant nostalgique d’un espoir.
Immersion dans l’imaginaire nocturne.
Je vous fais suivre un mot qui ne m’était pas destiné.
Voir plus grand.
Nostalgie de la lumière...
Il piaille, il trépigne, il s’impatiente... dans sa cage.
Le monde s’agite autour de soi, muet.
En attendant... viennent à nous, dans le quotidien, des questions philosophiques sans (...)
Autour d’un escalier se déploie l’histoire d’une famille.
Une belle rue, avec tant d’histoires à raconter.
La surprise du dernier instant.
Reconnaître, être reconnu, se reconnaître...
La main, symbole d’humanité.
A 7 ou 8 ans, le monde est joyeux, mais déjà dangereux.
Et si notre imaginaire était notre plus grande force ?
La force de la vie dans l’épreuve.
Peur et joie mêlées de l’enfance : « ce n’était qu’un jeu ».
Regarder, sentir, écouter et se souvenir.
Summertime is still here.
De quoi se souviendront les artistes peintres ?
Vivre intensément, avec des inconnus.
Et pourtant la vue y est splendide...
On regarde les autres, mais les autres, comment nous voient-ils ?
Dialoguer avec son enfant intérieur, pouvoir le rassurer, enfin.
Histoire partagée, fenêtre partagée...
Peut-on enfin être au calme ?
Une fenêtre sur la poésie de Boucar Diouf.
La vie au village au printemps 2020.
Des enfants partent, d’autres passent...
Apprendre et garder en soi, la poésie...
Comme un conte de la lune vague après la pluie.
La caresse du regard et de l’écoute.
Les lointains souvenirs peuvent revenir en volant.
« La division cellulaire est le mode de multiplication de toute cellule. »
J’aime imaginer ce que je ne vois pas.
Les mots sont venus, sont revenus, ils se sont couchés sur le papier.
Tout ce que l’on sait que les autres ne savent pas que l’on sait.
Tout faire pour ses enfants.
Montage, superpositions, échos... comme le cinéma de notre mémoire.
Le monde n’est réel que par l’imaginaire que l’on projette sur lui.
Ces moments qui paraissent anodins...
Poétiser nos futurs souvenirs du temps où nous étions libres.
Psychogénéalogie des lieux de vacances.
La main vivante.
Richesse de la lecture, quand on n’a pas les mots.
Quand l’obsession change de camp.
Découvrir qu’être en soi est l’expérience fondatrice, qui change toute la vie.
Allégorie moyenâgeuse d’une solitude assumée.
Attendre... puis se mettre en mouvement !
Un corps, à travers le temps, dans la caresse de la vague.
Le chant du monde.
La contemplation, plus importante que tout le reste.
Un souvenir qui revient en boucle.
Dessiner les contours du réel et de la liberté.
On se connaît peu, mais on a de l’attention pour l’autre.
Quel monde préférons nous ?
« J’avais fait cette vidéo avant le confinement pour mes enfants et elle me revient chaque fois (...)
Partir, vivre, revenir...
Chronique d’un déconfinement annoncé.
S’amuser avec trois fois rien...
Je devais retourner en Auvergne vers la fin mars, et voici que le confinement m’enferme en (...)
Suivez le guide !
Et si on regardait par les fenêtres de notre passé ?
Dans l’envers de la ville, il y a notre histoire.
Mais qu’est-ce que la neige, au fond ? Ce n’est pas ce qu’on croit, et c’était (...)
Le cycle de la vie.
Un souvenir de cinéma remonte, et nous met face à nous même.
L’énergie de la colère.
Tiens, on voit la piscine... maintenant que les arbres ont perdu leurs feuilles.En été, on ne (...)
La vie à la campagne reprend, presque comme si de rien n’était.
Un simple après-midi dans la neige, si important.
L’éveil spirituel en période de confinement n’est peut-être pas chez qui l’on croit.
La légende des humains.
Où est la vie que l’on regarde ?
Et si tout cela n’était qu’un film ?
Par delà les désaccords, les mots d’amour sont plus forts.
Bienvenue dans un moment exceptionnel !
Album de famille, regards des pères.
Anticipation en chanson d’un changement de point de vue radical.
Se faire du bien ou se faire du mal ?
La joie au travail !
Un voyage en plein vent dans la formation des souvenirs.
Seule, enfant, dans la nuit, dans la neige, aller chercher du lait à la ferme. Et le drame (...)
Madeleine de Pâques.
Ressentir la rotation de l’astre.
Je me souviens des étés chauds comme un four...
Rêverie du présent en temps de confinement.
Quand un lycée en rappelle un autre...
Souvenir d’antan.
Et si on faisait comme les oiseaux ?
Dialogue intérieur avec la jolie voisine.
Fernando Pessoa, v.o.s.t.
La vue d’une chambre racontée par un enfant.
La vie ne s’arrêtera pas comme ça.
Voici ce qui fait la force de notre humanité...
Il faudrait commencer à mieux s’occuper des fées.
Changement de destination...
Un rêve qui prend forme.
L’écoute du monde autour de nous, c’est la découverte la plus précieuse au fond de (...)
Savoir résister...
Trouver la juste distance.
Le dialogue et la liberté.
Le lieu merveilleux de l’enfance.
Fenêtre sur cour.
Un adieu en sfumato.
Un autre point de vue sur la vie.
Et si cette vue était la meilleure des vues ?
La nuit est propice au plaisir...
Le conte de la nature qui se souvient.
La parole, comme un chant, dévoile l’existence de champs passés et ouvre à un nouveau champ de (...)
Délicat mouvement musical de la poésie du dedans vers les souvenirs du dehors.
Quel usage fait-on des mots, hier, aujourd’hui, écrits, parlés ?
Se retrouver soi-même, en observant deux simples plantes.
Une fois la porte fermée, c’est là que tout commence, que tout finit.Avec Florence Hebbelynck (...)
Et si nos larmes étaient celles des nuages ?
Tresser, pour tisser les liens indispensables à la vie.
Le vent se lève... sur des lendemains qui chantent.
Observer, vivre, résister...
Prendre le temps d’observer le monde autour de soi, c’est se découvrir à soi-même.
Et si la vie, la vraie vie, se nichait au coeur du silence ?
Moeurs d’hier, moeurs d’aujourd’hui...
Pour qui sonne le tocsin ?
Jouer à se faire peur.
Une voix scande un corps qui danse, corps du monde.
Tout est dans le changement de regard.
Alors que l’on veut s’éloigner, on se rend compte qu’ensemble c’est mieux.
Quand c’est le monde qui nous dicte notre prose.
Un monde qui s’anime.
Et dans le futur, comment se fêtera-t-on les anniversaires ?
Quand les animaux se font philosophes.
Sans toit et face à moi.
Une épopée humaine, dans un petit coin de quartier parisien.Musique de Jules et Victor (...)
Lettre à Françoise Simpère.
Tout va si vite, quand on ne bouge pas.
A travers un jardin, c’est toute une vie qui se dévoile.
Les voyages forment la jeunesse, disait-on, avant...
A ce carrefour entre la rue Jeanne d’Arc et le boulevard de l’hôpital à Paris, sur lequel donnent (...)
Paradoxalement, c’est agréable.
Les milliers d’images dont nos sentiments sont faits.
La nature est emplie des mots des poètes.
Il était une fois une jeune prof, nouvellement arrivée...
Le déconfinement est-il possible ?
Recoller les morceaux...
Mesurer sa chance.
Entre mes mots, m’entendras-tu ?
Trois souvenirs de ma naissance.
La part végétale de l’être humain.
De la beauté des émotions fortes.
Rêve et réalité de la vie à la campagne.
Un nouvel élan partagé.
Ballade dans le sentiment amoureux.
Dépasser les limites.
La vraie vie, exubérante, incontrôlable.
Il y en a une qui donne au Sud, une autre au Nord et la troisième… vers l’Est (...)
Quand une dernière fois marque pour toute la vie.
Enquête à huis-clos dans un passé compassé.
Un jour on se retourne, et que découvre-t-on ?
L’oeil écoute, l’oreille voit, l’âme se souvient.
Penser, réfléchir, philosopher, écrire, apprendre, transmettre, entrer, sortir, se libérer (...)
Poétique de l’absence et de la perte.
Des sons imaginaires.Musique : Valtteri Kujala.
L’utopie réalisée.
Des sons disparus.
Faut-il en rire ou en pleurer ?
Jeanine-en-Rideau.
Les toits de Paris invitent à rêver un film, à changer de temporalité.
La poésie dans la tourmente.
L’amour n’a pas de frontières.
Demandez le programme !
Prendre appui, au plus profond de soi.
Il y a 50 ans, dans une chambre d’hôpital...En mémoire de Guy Hocquenghem.
Collection de haïkus en musique.
On s’accorde à revenir vers soi.
S’immerger dans l’instant présent.
La bonne formule pour être en liberté derrière les murs.
Un instant de bonheur intense, qui infuse pour toute la vie.
Les mots des poètes nous libèrent.
Un premier événement traumatique, avant les autres.
Les presque-répétitions de l’Histoire.
La vie serait-elle une suite de cycles ?
Un écran, une fenêtre.
Grandir et ses renoncements...
Faire le tri... entre réel et imaginaire.
Derrière une chanson, c’est toute une vie redécouverte qui se déploie.
Et si c’était l’occasion d’enrichir sa cinéphilie ?
I am obsessed with this girl...
Cultiver la paix en soi.
Se laisser porter, transformer, par le moment présent.
On circule, on apparaît, on disparaît, nos destins se croisent.
Prenons le pouvoir, soyons nos propres metteurs en scène.
Quand deux périodes de confinement se rencontrent.
Le rayonnement des rayonnages.
Cheminement en boucles.
Une méditation, au creux de l’oreille.
Une fenêtre, une frontière...
Un ami dans le ciel.
Elle est notre amie et un symbole d’espoir.
Nostalgie de l’enfance.
Donner la vie, c’est donner la parole.
Se créer une mémoire du présent.
Se mettre dans les meilleures dispositions.
Un enfant venu de loin, il y a longtemps...
Dans les voix des autres, se trouver soi-même.
Anticipation du quotidien.
Un olivier n’est pas qu’un arbre, mais un vase rempli...
Se remettre les idées à l’endroit.
Chanter pour se donner du courage.
Toujours le même chemin, et pourtant tant de chemin.
Découvrir un film dans le film.
Dessiner, inscrire, graver, ciseler... sa mémoire, par les mots.
Quand l’univers quotidien se transforme, au gré de l’imagination qui s’envole...
Comme tous les soirs...
Dis ! Quand Reviendras-tu ?
La science sans limites.
La marche du monde.
Un instant vécu peut infuser pour toute la vie.
Poésie de la vanité des hommes.
La chance de pouvoir faire un retour sur soi, privilège de classe.
Et pourquoi ne pas choisir de s’inventer une vie de luxe ?
Baignades mémorables et joyeuses.
En prise avec le manque de soi-même.
Quand les objets deviennent une part de nous-mêmes.
Vendredi 13 novembre 2015, vendredi 13 mars 2020...
Une histoire à chute.
Franchir la fenêtre, pour être vie.
Pourquoi ce souvenir là, toujours le même ? C’est ainsi.
Le ciel, à toutes les heures du jour et de la nuit.
Rester enfant à l’intérieur de soi, pour toujours.
Paris s’éveille... à Nice.
Par la fenêtre à travers les Siècles.
C’était le bon temps...
Et pourtant, elles tournent...
Mais quel genre de personne a pu taguer ça ?
Se débarrasser du superflu, revenir à l’essentiel.
Ouvrir nos perceptions... grâce à la musique.