Quels secrets se cachent dans cette petite forêt ?
Se mettre dans les meilleures dispositions.
Je vous fais suivre un mot qui ne m’était pas destiné.
Un corps, à travers le temps, dans la caresse de la vague.
Le déconfinement est-il possible ?
Quand deux périodes de confinement se rencontrent.
Rêverie du présent en temps de confinement.
Comme tous les soirs...
Baignades mémorables et joyeuses.
Ressentir la rotation de l’astre.
L’écoute du monde autour de nous, c’est la découverte la plus précieuse au fond de (...)
On ne vit pas tous dans le même monde.Musique : Sébastien Blanchon.
Vivre intensément, avec des inconnus.
La vie à la campagne reprend, presque comme si de rien n’était.
La vie reprend toujours ses droits.
Une épopée humaine, dans un petit coin de quartier parisien.Musique de Jules et Victor (...)
Autour d’un escalier se déploie l’histoire d’une famille.
Le partage des regards par les fenêtres de chacun, c’est comme une danse intérieure.
Je me souviens des étés chauds comme un four...
Les presque-répétitions de l’Histoire.
La contemplation, plus importante que tout le reste.
Mais quel genre de personne a pu taguer ça ?
Un voyage en plein vent dans la formation des souvenirs.
Quand on se découvre un compagnon inattendu et puissant.Musique : Jérémie Leclercq.
La vie ne s’arrêtera pas comme ça.
Les toits de Paris invitent à rêver un film, à changer de temporalité.
Elle est notre amie et un symbole d’espoir.
Souvenir d’antan.
Les voyages forment la jeunesse, disait-on, avant...
Tout faire pour ses enfants.
La nuit est propice au plaisir...
Recoller les morceaux...
Un adieu en sfumato.
Un poème découvert il y a 7 ans à cette fenêtre.
Et si cette vue était la meilleure des vues ?
Des sons imaginaires.Musique : Valtteri Kujala.
Un autre point de vue sur la vie.
« La division cellulaire est le mode de multiplication de toute cellule. »
Le lieu merveilleux de l’enfance.
Les mots des poètes nous libèrent.
Dans les voix des autres, se trouver soi-même.
Un rêve qui prend forme.
De quoi se souviendront les artistes peintres ?
Le dialogue et la liberté.
La musique adoucit les moeurs.
Franchir la fenêtre, pour être vie.
Grandir et ses renoncements...
Figure musicale de l’absence.
Psychogénéalogie des lieux de vacances.
Observer, vivre, résister...
Et si notre imaginaire était notre plus grande force ?
Mais qu’est-ce que la neige, au fond ? Ce n’est pas ce qu’on croit, et c’était (...)
La part végétale de l’être humain.
Sans toit et face à moi.
A ce carrefour entre la rue Jeanne d’Arc et le boulevard de l’hôpital à Paris, sur lequel donnent (...)
A 7 ou 8 ans, le monde est joyeux, mais déjà dangereux.
La caresse du regard et de l’écoute.
L’utopie réalisée.
Seule, enfant, dans la nuit, dans la neige, aller chercher du lait à la ferme. Et le drame (...)
Un simple après-midi dans la neige, si important.
Il piaille, il trépigne, il s’impatiente... dans sa cage.
Une belle rue, avec tant d’histoires à raconter.
Et si nos larmes étaient celles des nuages ?
Un jour on se retourne, et que découvre-t-on ?
Tiens, on voit la piscine... maintenant que les arbres ont perdu leurs feuilles.En été, on ne (...)
Quel monde préférons nous ?
La marche du monde.
Poésie de la vanité des hommes.
Ma fenêtre, mon carnet et moi.
Le ciel, à toutes les heures du jour et de la nuit.
Voici ce qui fait la force de notre humanité...
Se faire du bien ou se faire du mal ?
Si loin, si proches... Dans les facettes des souvenirs, se tisse le lien humain.
Et pourtant la vue y est splendide...
Tout ce que l’on sait que les autres ne savent pas que l’on sait.
Une fois la porte fermée, c’est là que tout commence, que tout finit.Avec Florence Hebbelynck (...)
L’oeil écoute, l’oreille voit, l’âme se souvient.
Délicat mouvement musical de la poésie du dedans vers les souvenirs du dehors.
Une fenêtre, une frontière...
Ouvrir nos perceptions... grâce à la musique.
Et pourtant, elles tournent...
Un enfant venu de loin, il y a longtemps...
Jouer à se faire peur.
On se connaît peu, mais on a de l’attention pour l’autre.
Même avant, il n’était pas si facile de sortir.
Enquête à huis-clos dans un passé compassé.
Dépasser les limites.
La parole, comme un chant, dévoile l’existence de champs passés et ouvre à un nouveau champ de (...)
Le cycle de la vie.
La poésie dans la tourmente.
Un monde qui s’anime.
Quand l’univers quotidien se transforme, au gré de l’imagination qui s’envole...
L’éveil spirituel en période de confinement n’est peut-être pas chez qui l’on croit.
Un film pour un ami.
Album de famille, regards des pères.
S’amuser avec trois fois rien...
Le conte de la nature qui se souvient.
Se débarrasser du superflu, revenir à l’essentiel.
Un instant de bonheur intense, qui infuse pour toute la vie.
En se tenant à cette fenêtre, regardant cette météo capricieuse, Daanin ne peut s’empêcher de (...)
Se laisser porter, transformer, par le moment présent.
Des enfants partent, d’autres passent...
Donner la vie, c’est donner la parole.
Savoir résister...
Dessiner les contours du réel et de la liberté.
Moeurs d’hier, moeurs d’aujourd’hui...
Les bons conseils livrés à domicile.
Par la fenêtre à travers les Siècles.
L’énergie de la colère.
Solidarités par associations d’idées libertaires et surréalistes.
Anticipation du quotidien.
La main, symbole d’humanité.
Les milliers d’images dont nos sentiments sont faits.
Un olivier n’est pas qu’un arbre, mais un vase rempli...
En attendant... viennent à nous, dans le quotidien, des questions philosophiques sans (...)
Le monde s’agite autour de soi, muet.
On s’accorde à revenir vers soi.
Je devais retourner en Auvergne vers la fin mars, et voici que le confinement m’enferme en (...)
Dialogue intérieur avec la jolie voisine.
Décalogue de mémoire.
Le chant du monde.
Reconnaître, être reconnu, se reconnaître...
Il y a 50 ans, dans une chambre d’hôpital...En mémoire de Guy Hocquenghem.
C’était le bon temps...
La vue d’une chambre racontée par un enfant.
La science sans limites.
Paris s’éveille... à Nice.
A travers un jardin, c’est toute une vie qui se dévoile.
La vie serait-elle une suite de cycles ?
Par delà les désaccords, les mots d’amour sont plus forts.
Allégorie moyenâgeuse d’une solitude assumée.
Promenade dans son petit monde.
J’aime imaginer ce que je ne vois pas.
Prenons le pouvoir, soyons nos propres metteurs en scène.
La visite du propriétaire.
Collection de haïkus en musique.
Il y en a une qui donne au Sud, une autre au Nord et la troisième… vers l’Est (...)
Chronique d’un déconfinement annoncé.
Dans l’envers de la ville, il y a notre histoire.
Fenêtre sur cour.
La légende des humains.
Chant nostalgique d’un espoir.
Se sauver, s’en aller, noyer sa solitude.
Une méditation, au creux de l’oreille.
Quand un lycée en rappelle un autre...
Paradoxalement, c’est agréable.
Dialoguer avec son enfant intérieur, pouvoir le rassurer, enfin.
Nostalgie de l’enfance.
A quoi ressemblait le quotidien ?
Un nouvel élan partagé.
Faut-il en rire ou en pleurer ?
Comme un conte de la lune vague après la pluie.
La nature, si mystérieuse et riche.
Histoire partagée, fenêtre partagée...
Et si tout cela n’était qu’un film ?
Fernando Pessoa, v.o.s.t.
Reconnaître les preuves d’amour.
Quand les objets deviennent une part de nous-mêmes.
Chanter pour se donner du courage.
Même chez soi, on peut ne plus être chez soi.
Entre mes mots, m’entendras-tu ?
La surprise du dernier instant.
I am obsessed with this girl...
Une voix scande un corps qui danse, corps du monde.
« J’avais fait cette vidéo avant le confinement pour mes enfants et elle me revient chaque fois (...)
On circule, on apparaît, on disparaît, nos destins se croisent.
Découvrir un film dans le film.
Quand c’est le monde qui nous dicte notre prose.
La force de la vie dans l’épreuve.
Prendre l’apéritif ensemble, c’est une ode à la vie.
La vraie vie, exubérante, incontrôlable.
La vie au village au printemps 2020.
Et dans le futur, comment se fêtera-t-on les anniversaires ?
Les mots sont venus, sont revenus, ils se sont couchés sur le papier.
Summertime is still here.
La voix de la machine... humaine ?
Et si on regardait par les fenêtres de notre passé ?
Quand l’obsession change de camp.
Dessiner, inscrire, graver, ciseler... sa mémoire, par les mots.
Lettre à Françoise Simpère.
Penser, réfléchir, philosopher, écrire, apprendre, transmettre, entrer, sortir, se libérer (...)
Et pourquoi ne pas choisir de s’inventer une vie de luxe ?
Voyage immobile.
Un instant vécu peut infuser pour toute la vie.
La chance de pouvoir faire un retour sur soi, privilège de classe.
Richesse de la lecture, quand on n’a pas les mots.
Faire le tri... entre réel et imaginaire.
Voir plus grand.
Prendre appui, au plus profond de soi.
Où est la vie que l’on regarde ?
Peut-on enfin être au calme ?
Se créer une mémoire du présent.
Paradoxalement, on peut être ensemble plus en profondeur, sans se voir ni se (...)
Tout va si vite, quand on ne bouge pas.
Prendre le temps d’observer le monde autour de soi, c’est se découvrir à soi-même.
Attendre... puis se mettre en mouvement !
Cheminement en boucles.
Par ma fenêtre, le temps s’arrête.
Se retrouver soi-même, en observant deux simples plantes.
On regarde les autres, mais les autres, comment nous voient-ils ?
Et si la vie, la vraie vie, se nichait au coeur du silence ?
À l’heure du confinement, au clair de la Lune, les Terriens souffrent d’insomnie...
Où sont nos racines ?
Un souvenir de cinéma remonte, et nous met face à nous même.
Demandez le programme !
A qui appartiennent ces deux grands yeux ?
Tout est dans le changement de regard.
Des sons disparus.
Une histoire à chute.
Partir, vivre, revenir...
La nature est emplie des mots des poètes.
Quand une dernière fois marque pour toute la vie.
Madeleine de Pâques.
Vendredi 13 novembre 2015, vendredi 13 mars 2020...
Nostalgie de la lumière...
Le monde n’est réel que par l’imaginaire que l’on projette sur lui.
Montage, superpositions, échos... comme le cinéma de notre mémoire.
La bonne formule pour être en liberté derrière les murs.
Trouver la juste distance.
Quel usage fait-on des mots, hier, aujourd’hui, écrits, parlés ?
S’immerger dans l’instant présent.
Un premier événement traumatique, avant les autres.
Un ami dans le ciel.
L’aventure de la vie, en musique !
Mesurer sa chance.
La joie au travail !
Apprendre et garder en soi, la poésie...
Dis ! Quand Reviendras-tu ?
Rester enfant à l’intérieur de soi, pour toujours.
Tresser, pour tisser les liens indispensables à la vie.
Se remettre les idées à l’endroit.
Le lieu d’une vie rêvée, qui n’a pas eu lieu.
Un souvenir qui revient en boucle.
Ces moments qui paraissent anodins...
La playlist du confinement.
Architecture cinématographique néo-classique.
Changement de destination...
Vol intérieur.
Rêve et réalité de la vie à la campagne.
La main vivante.
La goût de la vie et le goût de l’autre.
De fenêtre à fenêtre, le temps d’une cigarette, on survole Pyongyang !
Et si on faisait comme les oiseaux ?
Le rayonnement des rayonnages.
Comme un nouveau livre d’histoires.
Ballade dans le sentiment amoureux.
Toujours le même chemin, et pourtant tant de chemin.
Pourquoi ce souvenir là, toujours le même ? C’est ainsi.
Quand les animaux se font philosophes.
Il était une fois une jeune prof, nouvellement arrivée...
Derrière une chanson, c’est toute une vie redécouverte qui se déploie.
Tissage d’hommages et de liens profonds.
Bienvenue dans un moment exceptionnel !
Il faudrait commencer à mieux s’occuper des fées.
Quand ni l’un ni l’autre ne doit gagner...
Et si c’était l’occasion d’enrichir sa cinéphilie ?
Immersion dans l’imaginaire nocturne.
Un détour par le soleil.
Pour qui sonne le tocsin ?
Alors que l’on veut s’éloigner, on se rend compte qu’ensemble c’est mieux.
Avec infiniment de brumes à venir...
Anticipation en chanson d’un changement de point de vue radical.
L’amour n’a pas de frontières.
Jeanine-en-Rideau.
A qui appartient le monde ?
Les mots s’entremêlent, pour un pas de côté obligatoire.
Trois souvenirs de ma naissance.
Parler, ça fait du bien !
Mémoire sensible des lieux.
Regarder, sentir, écouter et se souvenir.
Peur et joie mêlées de l’enfance : « ce n’était qu’un jeu ».
Un écran, une fenêtre.
Cultiver la paix en soi.
De la beauté des émotions fortes.
Le confinement n’est pas un état nouveau.
Découvrir qu’être en soi est l’expérience fondatrice, qui change toute la vie.
En prise avec le manque de soi-même.
Suivez le guide !
Poétique de l’absence et de la perte.
Une fable de l’effondrement...
Le prendre dans les bras de son âme, l’enfant intérieur.
La réalité du monde à l’intérieur de nous.
Les lointains souvenirs peuvent revenir en volant.
Poétiser nos futurs souvenirs du temps où nous étions libres.
Les auteurs du passé, qui chevauchent nos imaginaires.
Une fenêtre sur la poésie de Boucar Diouf.
Le vent se lève... sur des lendemains qui chantent.
Le rêve, ultime échappatoire.