126 films réalisés.
À l’heure du confinement, au clair de la Lune, les Terriens souffrent d’insomnie...
 
Jeanine-en-Rideau.
Les mots s’entremêlent, pour un pas de côté obligatoire.
Une épopée humaine, dans un petit coin de quartier parisien.Musique de Jules et Victor Bertin.
La vie serait-elle une suite de cycles ?
Un rêve qui prend forme.
Un voyage en plein vent dans la formation des souvenirs.
S’immerger dans l’instant présent.
Et si on regardait par les fenêtres de notre passé ?
Un journal du regard et de l’écoute de l’autre, qui est peut-être plus en nous-mêmes qu’on (...)
Se débarrasser du superflu, revenir à l’essentiel.
A 7 ou 8 ans, le monde est joyeux, mais déjà dangereux.
Un souvenir qui revient en boucle.
Tout va si vite, quand on ne bouge pas.
L’éveil spirituel en période de confinement n’est peut-être pas chez qui l’on croit.
Réflexions sur l’impact du confinement dans nos vie, accompagnées par une musique de Chet (...)
Par ma fenêtre, le temps s’arrête.
Le vent se lève... sur des lendemains qui chantent.
Il y en a une qui donne au Sud, une autre au Nord et la troisième… vers l’Est !
Derrière une chanson, c’est toute une vie redécouverte qui se déploie.
Un ami dans le ciel.
Reconnaître les preuves d’amour.
Paradoxalement, on peut être ensemble plus en profondeur, sans se voir ni se toucher.
Haïku audiovisuel sur la nécessité d’être patient.Retrouvez Oui à la vie et Dis-moi... de la (...)
Il faudrait commencer à mieux s’occuper des fées.
Mutation, évasion. Voyager depuis sa fenêtre. Découvrir et explorer ce qui s’offre devant soi.
Lettre fictive de Madeleine Levic adressée au Président de la République.Texte original (...)
La vie reprend toujours ses droits.
Les mots sont venus, sont revenus, ils se sont couchés sur le papier.
Il y a 50 ans, dans une chambre d’hôpital...En mémoire de Guy Hocquenghem.
Pourquoi ce souvenir là, toujours le même ? C’est ainsi.
Tout ce que l’on sait que les autres ne savent pas que l’on sait.
Les voyages forment la jeunesse, disait-on, avant...
De quoi se souviendront les artistes peintres ?
Se retrouver soi-même, en observant deux simples plantes.
Un instant de bonheur intense, qui infuse pour toute la vie.
Le monde s’agite autour de soi, muet.
Vous connaissez Era ? C’est un petit chiot qui arrive un jour dans une maison ...
L’aventure de la vie, en musique !
Le chant du monde.
Quand les animaux se font philosophes.
La nature, si mystérieuse et riche.Découvrir Les Derniers Mots de Sarah Gamaire.
Et si c’était l’occasion d’enrichir sa cinéphilie ?
Une méditation, au creux de l’oreille.
Baignades mémorables et joyeuses.
Se sauver, s’en aller, noyer sa solitude.
Découvrir qu’être en soi est l’expérience fondatrice, qui change toute la vie.
De fenêtre à fenêtre, le temps d’une cigarette, on survole Pyongyang !
Délicat mouvement musical de la poésie du dedans vers les souvenirs du dehors.
Seule, enfant, dans la nuit, dans la neige, aller chercher du lait à la ferme. Et le drame survient.
Prendre l’apéritif ensemble, c’est une ode à la vie.
Quand les objets deviennent une part de nous-mêmes.
Le lieu d’une vie rêvée, qui n’a pas eu lieu.
Et pourquoi ne pas choisir de s’inventer une vie de luxe ?
Depuis la fenêtre de la cuisine, la lumière rasante, la brise légère et les trains surprenant (...)
Franchir la fenêtre, pour être vie.
En attendant... viennent à nous, dans le quotidien, des questions philosophiques sans réponse.
Reconnaître, être reconnu, se reconnaître...
Quels secrets se cachent dans cette petite forêt ?
Ode à la beauté de la vie et à la nécessité de s’en saisir.Retrouvez Il faut savoir attendre (...)
Les toits de Paris invitent à rêver un film, à changer de temporalité.
La chance de pouvoir faire un retour sur soi, privilège de classe.
Les bons conseils livrés à domicile.
Les mots des poètes nous libèrent.
Découvrir un film dans le film.
Le lieu merveilleux de l’enfance.
Si loin, si proches... Dans les facettes des souvenirs, se tisse le lien humain.
Lettre à Françoise Simpère.
Vivre intensément, avec des inconnus.
Cultiver la paix en soi.
Des enfants partent, d’autres passent...
Prendre le temps d’observer le monde autour de soi, c’est se découvrir à soi-même.
La caresse du regard et de l’écoute.
Quand l’univers quotidien se transforme, au gré de l’imagination qui s’envole...
Richesse de la lecture, quand on n’a pas les mots.
Tresser, pour tisser les liens indispensables à la vie.
Comme tous les soirs...
Un enfant venu de loin, il y a longtemps...
Quand Julien se réveille ce matin, les humains ont tous disparu...
Fenêtre sonore ouverte sur les mouettes.
Dialoguer avec son enfant intérieur, pouvoir le rassurer, enfin.
Je devais retourner en Auvergne vers la fin mars, et voici que le confinement m’enferme en (...)
Le conte de la nature qui se souvient.
Vision cinéphilique, hypnotique et poétique du confinement.
Par delà les désaccords, les mots d’amour sont plus forts.
L’écoute du monde autour de nous, c’est la découverte la plus précieuse au fond de soi.
Se faire du bien ou se faire du mal ?
Paradoxalement, c’est agréable.
Dialogue intérieur avec la jolie voisine.
A quoi ressemblait le quotidien ?
Comme un conte de la lune vague après la pluie.
A qui appartiennent ces deux grands yeux ?
Un nouvel élan partagé.
Eclipse de soleil, éclipse de vie.
Quel usage fait-on des mots, hier, aujourd’hui, écrits, parlés ?
Et si notre imaginaire était notre plus grande force ?
Un instant vécu peut infuser pour toute la vie.
Le masque obligatoire, une forme de censure qui étouffe la parole ?
Poétiser nos futurs souvenirs du temps où nous étions libres.
Un corps, à travers le temps, dans la caresse de la vague.
La vie au village au printemps 2020.
Un souvenir de cinéma remonte, et nous met face à nous même.
L’énergie de la colère.
Recoller les morceaux...
Solidarités par associations d’idées libertaires et surréalistes.
Fenêtre ouverte sur le monde aquatique.Réalisé dans le cadre de l’atelier « Filmer la (...)
Mais qu’est-ce que la neige, au fond ? Ce n’est pas ce qu’on croit, et c’était prédit.
Penser, réfléchir, philosopher, écrire, apprendre, transmettre, entrer, sortir, se libérer l’esprit.
La musique adoucit les moeurs.
Une voix scande un corps qui danse, corps du monde.
Autour d’un escalier se déploie l’histoire d’une famille.
Chant nostalgique d’un espoir.
Faut-il en rire ou en pleurer ?
La nature est emplie des mots des poètes.
Les lointains souvenirs peuvent revenir en volant.
Prenons le pouvoir, soyons nos propres metteurs en scène.
Fenêtre sur cour.
Quand c’est le monde qui nous dicte notre prose.
On regarde les autres, mais les autres, comment nous voient-ils ?
La nuit est propice au plaisir...
Je vous fais suivre un mot qui ne m’était pas destiné.
Vendredi 13 novembre 2015, vendredi 13 mars 2020...
Tissage d’hommages et de liens profonds.
Comme un nouveau livre d’histoires.
Le partage des regards par les fenêtres de chacun, c’est comme une danse intérieure.
Rêverie du présent en temps de confinement.