Quand c’est le monde qui nous dicte notre prose.
Tresser, pour tisser les liens indispensables à la vie.
Regarder, sentir, écouter et se souvenir.
Peut-on enfin être au calme ?
Et si notre imaginaire était notre plus grande force ?
Paradoxalement, on peut être ensemble plus en profondeur, sans se voir ni se toucher.
A travers un jardin, c’est toute une vie qui se dévoile.
La force de la vie dans l’épreuve.
Dans l’envers de la ville, il y a notre histoire.
La vie ne s’arrêtera pas comme ça.
Haïku audiovisuel sur la nécessité d’être patient.Retrouvez Oui à la vie et Dis-moi... de la (...)
Déambulation le long d’une corde à linge, le long du temps.
La surprise du dernier instant.